Premières lignes #2

Premieres lignes

Avec cette nouvelle année qui commence, j’avais envie d’inaugurer un nouveau rendez-vous hebdomadaire ! Je cherchais un rendez-vous qui serait à base de citation et j’ai croisé sur le blog de "Bettie rose" le rendez-vous : "Premières lignes". J’ai tout de suite compris que j’avais trouvé le "Saint Graal". A l’origine de celui-ci, le blog "Ma lecturothèque".

Le principe est simple, toutes les semaines on vous cite les premières lignes de notre lecture. Mais trêve de bavardage et passons au vif du sujet.

Pour ce dimanche, je vais vous citer les premières lignes de "Balle de match" d’Harlan Coben. Je suis heureuse de renouer avec cet auteur, que j’adore, et quoi de mieux qu’une enquête de Myron Boltar pour y parvenir.

 

Balle de match

"Dans le monde du tennis professionnel, certains n’hésitent pas à remplacer la balle jaune par une autre d’un plus petit calibre aux effets mortels. Comme celle qui a mis définitivement fin à la carrière de l’ancienne championne Valérie Simpson par exemple. Pour l’agent sportif Myron Bolitar, c’est une nouvelle enquête semée d’embûches qui commence. Qui avait intérêt à tuer Valérie ? Et pourquoi celle-ci a-t-elle cherché à le joindre la veille de son assassinat, après un long silence ? Quel rapport enfin entre elle et le protégé de Myron, Duane Richwood, la star montante de la raquette américaine ? Personne ne semble très enclin à répondre à ces questions. Alors quand la mafia et un sénateur véreux s’en mêlent, Myron comprend que le jeu va être décisif."

 

Chapitre 1

" - César Romero, dit Myron.

  - Tu plaisantes ? répliqua Win.

  - Plains-toi : je commence par l’un des plus faciles ! Sur le court, les joueurs venaient de changer de côté.


          Duane Richwood, le "client" de Myron – ou plutôt son poulain – était en train de filer la pâtée au numéro 15 mondial, un Ivan Ruskof-Ianovitch-Trucmuche : 5-0 au troisième set, après deux superbes premières manches, 6-0, 6-2. Bon début, dans ce tournoi de l’US Open, pour un p’tit gars sorti de nulle part, c’est-à-dire des bas-fonds de New-York.

 

  - César Romero, répéta Myron. Allez, avoue que tu sèches.

  - Le Joker, soupira Win.
  - Et Frank Gorshiii ? "
 

J’ai l’impression que ça commence plutôt pas mal. J’ai toujours adoré les dialogues entre Myron et Win.

 

Rédigé par Magali, le 21/01/2018

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